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Alexia, promo 2016 : l’employabilité, ça se travaille en école de commerce

Alexia, promo 2016, a choisi une carrière dans le marketing de contenu après ses études en école de commerce à l’EMLV. Aujourd’hui, une pro du contenu dans la healtech, elle revient sur ses années au Pôle Léonard de Vinci et sur sa transition à la vie active. Témoignage.

Je m’appelle Alexia Orny, je suis diplômée du Master Digital Marketing Strategy, et aujourd’hui je suis content manager chez Teladoc Health France, qui est le leader français des soins virtuels, donc de la e-santé.

S’appuyer sur la pluralité des expériences en école de commerce

Après avoir été diplômée, j’ai trouvé très rapidement du travail, et pas n’importe quel travail puisque j’ai pu intégrer le groupe Renault Nissan, en qualité de consultante en communication 360.

Ce qui a été très apprécié sur mon CV, je le sais avec le recul, c’est la pluralité des expériences que j’avais déjà pu avoir grâce à l’EMLV, et tous les stages, et puis les travaux transversaux que j’avais pu faire tout au long de ma scolarité.

Ce qui a motivé ma décision d’intégrer une école de commerce, c’est que je ne savais pas du tout encore ce que je voulais faire. Devant APB, je me revois être perdue, ne pas savoir vers quoi m’orienter, et je savais qu’à l’EMLV j’allais avoir un tronc commun très riche et très varié. Cela me donnait deux ou trois années de répit pour y voir plus clair et puis mieux comprendre le marketing, la finance, les métiers de la RH …

Ce qui m’a séduit à l’époque – j’avais 18 ans – c’était la vie associative très riche, et je me disais que j’allais quand même passer aussi de bons moments.

Les projets transversaux, les stages, les soft skills … des portes ouvertes sur l’emploi

Un projet qui me revient spontanément, c’est un Business Game qui nous a été confié par le groupe électroménager Seb, un Business Game. Le projet était le développement d’une gamme de produits, et, d’ailleurs, je me souviens qu’on a gagné ce Business Game avec mon équipe.

C’était hyper stimulant de vraiment être dans le concret et d’œuvrer pour une société. En tant que chef de projet, on devait défendre auprès d’une entreprise notre travail ; cela nous fait sortir de l’aspect scolaire de la formation, on est vraiment confrontés à la réalité professionnelle.

Ce qui est très particulier au Pôle Léonard de Vinci, et que je retiens de mon enseignement, c’est vraiment le fait qu’ on est loin de l’enseignement « théorique only ». On est vraiment aussi dans la pratique.

J’ai beaucoup parlé de ça autour de moi, l’EMLV est la seule école qui va vraiment faire sortir votre potentiel en terme de Soft Skills, et je trouve ça dingue, avec le recul, de dire que dans mon école, on m’a fait faire du développement personnel pour mieux gérer mon stress, ce qui m’a aidée pour la prise de parole.

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Cet enseignement, il prend vraiment la personne dans sa globalité, on vient enseigner les Hard Skills aux étudiants, mais on vient aussi faire émerger peut-être le futur manager, ou le futur leader qui se cache dans cet étudiant.

L’international, pour développer ses idées sur le monde et l’entrepreneuriat

Au long de ma scolarité, j’ai eu à faire des stages, à réaliser des expériences en entreprise et à ce titre j’ai pu réaliser un projet de consulting avec le groupe Orange, développé conjointement par ma scolarité et le groupe Orange. On se rendait dans leurs locaux une fois par semaine pour gérer l’avancement du projet. J’ai pu faire un stage en entreprise, en qualité de chargée d’études marketing au sein du groupe Mondadori.

En 2014, j’ai eu l’immense joie de partir six mois en Chine, dans une ville qui s’appelle Nanjing, à une heure de Shanghai, au sein d’une université partenaire de l’EMLV. J’ai été beaucoup aidée dans mes choix, parce que c’est vrai qu’à cet âge-là, on ne sait pas quoi choisir ; on a peut-être les inquiétudes des parents, des proches, ce qui est tout à fait normal, et je sais que tous les professeurs se sont montrés vraiment présents pour nous parler des diverses opportunités, des plus, mais aussi des moins, et puis de nous conseiller en fonction de nos attentes dans notre carrière future.

Créer du lien sur le campus grâce à la transversalité

Sur le campus, on côtoie plusieurs profils de personnes, puisqu’il y a trois écoles : l’IIM, axée sur le digital, l’ESILV, une école d’ingénieurs, et puis bien sûr, l’EMLV, qui est une école plutôt de manager, marketing, RH, finance, etc. On se retrouve tout au long de cette scolarité à tisser des liens sans forcément avoir le recul pour se dire que c’est peut-être du réseau à l’avenir, mais on tisse des liens avec des gens.

Qui dit tisser des liens, dit avantages, parce qu’en parlant avec un financier, j’apprends des choses, en parlant avec quelqu’un qui fait du digital, de la créa, j’en apprends d’autres, et, en fait, aujourd’hui, en tant que jeunes professionnels, on a déjà développé notre réseau.

On s’entraide, et on est très souvent interconnectés : je sais qui devient quoi, et par exemple dans le cadre de mon métier, j’ai déjà eu à faire appel à des gens qui étaient des camarades, tout simplement.

L’EMLV m’a fortement accompagnée dans une activité d’étudiant entrepreneur. Suite à mon échange en 2014 à l’étranger, je suis revenue avec plein d’idées en tête, après avoir découvert autant le monde, et j’ai lancé avec deux amis, dont une amie qui était l’IIM (nous étions trois), une marque de bijoux faits main qu’on importait directement d’Indonésie.

Je me rappelle très bien du soutien de mes professeurs, qui ont pris sur leur temps personnel pour me donner des conseils, pour nous orienter dans ce business. Si je suis où je suis aujourd’hui, c’est tout simplement grâce à cela.

Photo de couverture : Alexia Orny et Célia Delbard, à l’époque de leurs études à l’EMLV et de leurs premières expériences dans l’entrepreneuriat : https://www.emlv.fr/alexia-et-celia-promo-2016-co-fondatrices-de-billla-marque-de-bijoux-artisanaux-dinfluence-balinaise/

 

 

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