Edition du 12 octobre 2011 :
« Le 22 septembre, les dirigeants de cinq pays dits émergents se sont interrogés sur leur possible concours à la résolution de la crise de l’euro. Dans le même temps, le secrétaire américain au Trésor sest inquiété à voix haute de la situation économique de l’Union européenne.
Inquiets des conséquences systémiques possibles d’une implosion de la zone euro, des pays tiers se portent pour la première fois depuis des décennies au chevet de l’Europe. Si elle ne concerne pour l’heure que les enjeux monétaires, financiers et banquiers, cette préoccupation nouvelle à l’égard de la capacité des Européens à ne pas entraîner le reste du monde au bord du gouffre est lourde de symboles et de leçons pour une UE qui s’était construite depuis des décennies comme le bon docteur et non comme le malade du système international… »
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