Intégrer une école de commerce et après des études à l’étranger les grandes écoles de commerce sont à la recherche de profils aux parcours atypiques mais tout aussi qualifiés.
Mais, dans les faits, comment intégrer une école de commerce lorsque l’on a réalisé une partie ou la totalité de ses études à l’étranger ? Voici quelques éléments de réponse.
À l’EMLV, plusieurs voies d’admission sont possibles pour permettre aux étudiants venus des quatre coins du globe de poursuivre des études à Paris : en Programme Grande Ecole, en Bachelor, en MSc, en MBA.
Les candidats étrangers peuvent postuler directement via le portail de candidatures internationales.
Généralement, détenir un diplôme de premier cycle universitaire à l’étranger est bien vu par les grandes écoles de commerce en France. C’est une expérience solide et pertinente, qui s’inscrit parfaitement dans la poursuite d’études professionnalisantes en France. Ces étudiants sont souvent habitués à la pratique des cours en anglais et s’intègrent parfaitement au sein des campus multiculturels.
Intégrer une école de commerce après des études à l’étranger demande d’avoir un certain niveau scolaire, un projet professionnel réflechi et justifier des raisons qui poussent un candidat à vouloir poursuivre ce type de cursus
Le choix du MSc ou du MBA après des études à l’étranger
Si les candidatures sont ouvertes à bac+3 ou bac+4, il fait sens d’opter pour un MsC ou un MBA après des études à l’étranger. Ce type de formations accueille des étudiants qui ont une très bonne maîtrise de la langue anglaise et disposent d’une expérience professionnelle (pour le MBA). Le fait d’avoir réalisé des stages à l’étranger peut alors être un atout de taille ! Afin de pouvoir intégrer un tel cursus, les écoles demandent généralement un test d’anglais (TOEFL, TOEIC) et un test de management (Tage-Mage, GMAT…) pour attester des compétences du candidat.
Lorsqu’on prévoit d’intégrer une école de commerce après des études à l’étranger, la clé réside dans la préparation et l’anticipation. Se tenir informé des dates butoirs (qui peuvent être propres à chaque école) et avoir le niveau attendu pour poursuivre sereinement des études en Métropole.