L’employabilité. C’est très souvent le critère principal qui pousse les lycéens et les étudiants vers les écoles de commerce, et les récentes données de la Conférence des Grandes Écoles leur donnent une nouvelle fois raison.
Dans un parcours pédagogique construit pour et par les entreprises, l’insertion professionnelle des jeunes diplômés se situe toujours à un niveau très élevé : 9 diplômés sur 10 sont en activité moins de six mois après leur remise des diplômes. Un succès qui s’explique par une longue tradition misant sur l’excellence académique, l’attention portée au développement des projets professionnels et les multiples expériences réalisées tout au long du cursus en école de commerce.
Des jeunes diplômés opérationnels immédiatement
Grâce à des cursus pédagogiques laissant une place importante au monde professionnel (stages, apprentissage, projets d’entreprise, cours donnés par des professionnels, année césure, etc.) les étudiants en école de commerce développent une opérationnalité qui porte ses fruits.
Le fameux « jeune diplômé » avec expérience devient alors une réalité concrète. Près des deux tiers des étudiants sont même embauchés avant l’obtention de leur diplôme. Une marque de confiance entre étudiant, école et entreprise qui se caractérise par un contrat à durée indéterminée dans 81% des cas. Et pour les étudiants ayant choisi la voie de l’alternance ou de l’apprentissage, 40% d’entre eux ont été recrutés dans leur entreprise d’accueil.
Un premier salaire en augmentation
Indicateurs économiques au vert, retour de la croissance et de la confiance… les entreprises se montrent un peu plus généreuses que l’année dernière avec les dernières promotions des jeunes diplômés.
Le salaire moyen brut annuel, incluant les primes, se situe désormais à 38 225 euros pour la France, contre 39 246 euros pour ceux ayant choisi de s’expatrier à l’étranger. Un choix qui représente un diplômé sur huit en moyenne avec pour destinations privilégiées, le Royaume-Uni, l’Allemagne, la Chine, le Luxembourg et la Suisse.
Des diplômés qui cassent le mythe du grand groupe
Si les multinationales et les grands groupes recrutent toujours beaucoup de jeunes diplômés d’écoles de commerce parmi leurs effectifs, la tendance est à présent davantage tournée vers les TPE et les PME. Les entreprises de moins de 250 salariés sont même les principaux employeurs, puisque 40% des diplômés choisissent d’y débuter leur carrière.
L’aventure entrepreneuriale agite également les sortants des écoles de commerce : la création et la reprise d’entreprises concernent près de 5% d’entre eux. Un taux en augmentation par rapport à l’année précédente.
Des premiers choix professionnels qui sont d’ailleurs appréciés par les premiers concernés, car près de 83% des jeunes diplômés se disent satisfaits ou très satisfaits de leur emploi selon les conditions de travail, les relations avec les collègues, le niveau de rémunération, le niveau d’autonomie, les responsabilités occupées et le lieu géographique.
Des bons chiffres qui confortent le modèle des écoles de commerce
Alors qu’il n’est jamais évident de se projeter en sortant du lycée ou au moment de choisir ses futures études, tous les résultats des enquêtes d’insertion montrent, année après année, la pertinence du modèle des écoles de commerce. Un système basé sur une dualité professionnalisante et académique qui met l’accent tant sur les soft skills que les hard skills. Une expérience bonifiée par un passage à l’étranger (en université et/ou en entreprise) qui renforce les compétences existantes et en développe d’autres, afin d’optimiser la construction d’un projet professionnel unique et différenciant.
Les résultats de la dernière enquête d’insertion de la Conférence des Grandes Écoles soulignent donc le rôle joué par les écoles de commerce dans l’employabilité des étudiants. Un travail de longue haleine qui débute dès la première année et qui permet aux équipes pédagogiques de réaliser un travail et un accompagnement personnalisé de fond, en adaptant l’enseignement aux attentes des entreprises et du marché du travail. Une manière de coller à la réalité du terrain tout en cultivant la curiosité, l’écoute et l’humilité pour des futurs managers innovants et créateurs de valeur.
Plus d’informations sur l’insertion des diplômés de l’EMLV, école de management à Paris.