Stages, départ à l’international, associations, travail en groupes transversaux…
Je m’appelle Léa Le Gentil, je suis en 2e année à l’EMLV, je suis dans la promo 2025 et souhaite faire un master en ressources humaines.
L’EMLV : le choix de masters, l’international, le digital …
J’ai connu l’EMLV déjà par les discours de mes professeurs au lycée et sur les réseaux sociaux, également. Elle propose beaucoup de spécialisations de master et notamment en ressources humaines et une particularité, en ressources humaines digitales. Il faut noter également l’emplacement : du fait qu’elle soit à la Défense, c’est quelque chose d’exceptionnel.
Je n’ai pas passé les épreuves du Concours SESAME, (en 2020, les épreuves ont été remplacées par une étude de dossier) je me suis inscrite sur Parcoursup, j’ai été acceptée au niveau de mes notes et de mon dossier, de mon comportement au lycée.
Quand je suis arrivée à l’EMLV, on m’a très vite très bien accueillie, on m’a fait me sentir à ma place, particulièrement aux journées portes ouvertes.
J’ai été directement immergé dans les études à l’EMLV et les professeurs également ont tout fait pour qu’on se sente bien et qu’on comprenne vite les matières et les enjeux.
Ma première année a été simple, efficace ; au premier semestre on avait plutôt des matières managériales et au deuxième semestre on était plus sur le côté Finance, avec pas mal de cours comptabilité, etc. Le premier semestre a été un petit peu complexe, parce que j’ai eu du mal à m’organiser tout de suite et je n’ai pas fais des choix stratégiques sur comment apprendre mes cours, etc.
Les partiels ont permis de voir qu’il fallait que j’ajuste les choses et au deuxième semestre, ça s’est passé très, très bien.
Mes cours, pour le premier semestre, on va dire que c’est plus financier, avec très peu de cours de management et le deuxième semestre et uniquement en anglais, pour préparer la future troisième année à l’international.
En 3e année, on a l’obligation de partir à l’étranger ; cela va se rythmer par un semestre académique dans une université de notre choix et l’autre partie de l’année, ça sera un stage à l’international.
Après, pour justement l’accomplir et choisir les universités partenaires, il faut avoir le niveau B2 au test Toefl. On va faire au mois de décembre le choix des universités qu’on souhaite ; la scolarité va regarder en fonction de nos résultats et de notre de notre niveau en anglais (il est très important d’avoir le niveau B2). Une fois qu’on a ce niveau-là, on peut choisir un large panel de destinations. Si on n’a pas le niveau B2, on peut repasser l’examen au mois de février et si après ce test-là on ne l’a toujours pas, on aura des destinations qui seront restreintes.
J’aimerais aller soit à Barcelone ou à Bruxelles, rester en Europe pour mon année internationale. Si jamais je n’ai pas mon niveau B2, j’irai à Dublin pour pouvoir justement améliorer ce niveau-là.
Les assos, pour une vraie vie étudiante
Ce que j’aime dans cette école, c’est surtout la relation avec tous les étudiants ; l’école nous laisse vraiment le temps d’approfondir ses relations-la, de pouvoir définir des enjeux au niveau associatif, sportif, etc. Ce n’est pas qu’une vie d’étudiants simplement « brassés sur la feuille ».
Aussi, le cadre de vie est très important, ce qui m’a fait choisir l’EMLV : on est très bien lotis, on a de beaux équipements, de beaux locaux et c’est vraiment chouette.
Au Pôle Léonard de Vinci, une spécificité c’est d’avoir pas mal d’associations qui sont très importantes pour les étudiants, qui offrent un large choix de ce qu’on veut faire et dans n’importe quelle association.
Je suis vice-présidente d’une association professionnelle qui s’appelle Devinci Partners, qui se charge d’organiser avec le Pôle tous les événements qui vont regrouper les entreprises. Je m’occupe de créer des partenariats avec les entreprises pour pouvoir faire profiter les étudiants du Pôle; pour qu’ils puissent bénéficier d’une alternance ou d’un stage, voire d’un CDI à la fin de l’année.
Dans la première année, il y a un stage qui est obligatoire. J’ai souhaité le faire en ressources humaines pour pouvoir anticiper le Master que je voudrais faire. J’ai fait un stage en ressources humaines de trois mois, de mai à juillet, ensuite en deuxième année, c’est une mission solidaire : s’affilier à une association pour une cause humanitaire. La troisième année, on a dit que c’était un stage à l’étranger et puis, au niveau des masters, le parcours se poursuit en fonction du master qu’on choisi.
Il il y a des masters où il n’y a pas forcément d’alternance, mais le programme est en anglais. Au niveau de mon sujet, j’ai choisi le master en ressources humaines, exclusivement en alternance.
La transversalité au Pôle Léonard de Vinci, c’est quelque chose de très important et à mes yeux également. On en profite pour travailler avec des ingénieurs, des designers et du coup des commerciaux comme l’EMLV, notamment dans des semaines soft skills, à travers desquelles on est confrontés à de nombreux sujets comportementaux, avec différents profils comme ceux réunis par les trois écoles.
Dans les associations, j’ai pu découvrir des personnes qui n’étaient pas forcément dans mon école et c’est pareil dans le milieu sportif : on est mélangés et j’apprends à connaître 3 profils différents, que je peux retrouver après dans les écoles.