En école de commerce, c’est important de mettre l’accent sur ses études, mais aussi de profiter de la vie associative. Julien, promo 2025, raconte son quotidien à l’EMLV.
Je m’appelle Julien, je suis en deuxième année à l’EMLV (promo 2025), membre de Léo Workout, l’association fitness & musculation du Pôle Léonard de Vinci.
Intégrer le Programme Grande École
C’est assez drôle, c’est par mon collègue, qui m’en a parlé, que j’ai visité le Pôle Léonard de Vinci avant ma 1ère année. J’ai participé à une Journée Portes Ouvertes et dès que j’ai vu le campus, je me suis dit : » OK, ça ne rigole pas ! ».
Une fois que j’ai découvert le cursus, l’international, les stages, l’alternance … j’ai été convaincu par le Programme Grande École de l’EMLV.
J’ai passé le Concours SESAME en 2020, l’année Covid : les sélections se sont faites directement sur les dossiers. Je me suis préparé au concours grâce aux journées de préparation à l’EMLV et à la préparation que j’ai effectuée en parallèle. Il s’agit de modalités que l’on n’a jamais croisées au lycée : culture générale, tests de logique, de langue, ce sont des épreuves auxquelles il faut s’y préparer. C’est un concours, l’objectif c’est d’être le meilleur.
Mon conseil pour tous ceux qui passent le concours SESAME cette année, c’est de commencer la préparation le plus vite possible.
Le concours, c’est en avril ! C’est une logique à maîtriser et à acquérir au fur et à mesure : par exemple, si tu passes le test de logique sans préparation en amont, les chances d’y obtenir une bonne note sont minimes. Il faut anticiper au maximum.
La 3e année à l’étranger, c’est 6 mois dans une université partenaire et 6 mois de stage dans une entreprise. J’aimerais partir aux Pays-Bas pour mon séjour à l’international : c’est un pays intéressant, l’occasion de découvrir une nouvelle culture et de progresser en anglais. En 4e année, il faut choisir sa spécialisation Master; je souhaite me tourner vers le Master en négociation, et management des affaires en alternance.
La négociation d’affaires, c’est un métier qui m’a toujours attiré : entre la tchatche de tous les jours et l’incertitude et le suspense qui va avec, je trouve que c’est un métier passionnant.
L’alternance permet d’acquérir de nouvelles connaissances pratiques, d’avoir ses études payées par l’entreprise, et en plus de recevoir un petit salaire : c’est une vraie expérience. En tant qu’étudiant en alternance, tes horaires peuvent varier chaque semaine : chaque jour peut être différent.
Les possibilités du cursus en école de commerce
Le cursus en école de commerce aussi est une activité sans routine : tout le temps tu as de la nouveauté. Sur une journée type, la première session de cours commence à 8 heures et dure 3 heures, avec une pause au milieu.
Quand j’ai des events associatifs avec LeoWorkout, on se retrouve entre nous au Pôle Léonard de Vinci : on va se faire une petite séance de sport, on va manger le midi ensemble. La vie associative rythme la vie de chaque étudiant. Dans la plupart des cours, on te donne les connaissances et ensuite, il y a le travail de groupe pour fixer les apprentissages.
Tu as des journées qui ne sont pas complètement remplies ; il y a beaucoup d’activités à faire chez toi, ce qui te permet de t’organiser et de trouver du temps chaque semaine pour tes activités personnelles.
Les travaux de groupe ne me posent aucun problème : ça demande un peu de travail, de l’implication, mais si tu es impliqué et que tu travailles, il n’y a aucun souci.
Le bon mixe : sport, assos, alternance, soft skills …
La vie associative au Pôle Léonard de Vinci consiste en 56 associations différentes : c’est énorme. Il y a des assos dans tous les domaines : sport, théâtre, musique, clubs écoles … C’est incroyable et c’est ce qui rythme le Pôle : déjeuners, élections des BDE… Je me souviens de la dernière campagne d’élections de la BDE et de cette période fusionnante.
Faire partie de Léo Workout, l’association musculation et de fitness, me permet aussi bien de me faire des potes, d’être intégré dans la vie associative et aussi derrière de me constituer un réseau.
Ces assos regroupent les trois écoles, l’EMLV, l’ESILV et l’IIM, des étudiants qui n’ont pas les mêmes connaissances que toi et tu sais que tu vas pouvoir garder contact avec eux. Si un jour, tu te dis » j’ai besoin d’un développeur pour faire un projet« , tu appelles un mec de l’IIM.
Le sport, c’est un autre élément important et une valeur ajoutée pour l’EMLV. Le sport est obligatoire pendant les deux premières années ; avec une grande diversité de sport proposés et un label JO 2024 renouvelé.
Dès la première année, il faut effectuer un stage de deux à trois mois : c’est obligatoire pour valider ton année. En ce qui concerne mon stage, je l’ai fait dans mon entreprise actuelle, un club de sport où j’ai pu décrocher mon contrat en CDI après. Pour trouver son stage il faut faire appel à son réseau personnel,
mais l’école a un réseau d’entreprises partenaires qui nous proposent des offres sur le portail étudiant.
Pour nous aider à trouver un stage rapidement, l’école propose des offres. Faire un stage permet de mettre en application toutes les connaissances théoriques acquises en cours.
En deuxième année, nous devons choisir une mission solidaire d’une dizaine de jours (70 heures à valider). Dans le monde du commerce, comme dans beaucoup d’autres domaines, c’est intéressant de connaître comment fonctionnent les associations humanitaires. Il faut donner de soi-même pour une bonne cause.
Enfin, le master en alternance, c’est trois semaines en entreprise et une semaine à l’école : cela permet d’avoir de l’expérience, de mettre en application ses connaissances et d’acquérir de nouvelles compétences.
Un des gros points forts de l’école, c’est la transversalité : une école de commerce, une école d’ingénieurs, une école du web, des étudiants qui travaillent tous ensemble durant des semaines Soft skills.
Les soft skills, entre autres, nous permettent de travailler avec des camarades aux profils différents. Lors des semaines « soft skills », nous sommes amenés à collaborer avec les étudiants ingénieurs et développeurs. Les hackathons transversaux consistent en un projet en équipe sur une semaine. J’ai eu l’occasion de travailler sur un projet autour du développement durable et, à ce titre, j’ai pu m’intéresser aux fermes aménagées sur les toits, dans Paris.
Collaborer avec une diversité d’étudiants permet d’apprendre à mieux gérer les situations au quotidien.