X

Marie, promo 2014, Chef de Produit Junior chez Burberry Children

Après avoir suivi la majeure marketing et distribution en 5e année, être allée en Finlande en Eramus et profité de ses études à l’EMLV, Marie d’Aubert, promo 2014, est en poste de Chef de Produit Junior chez Burberry Children.

« Après avoir passé un Bac ES je ne savais pas vraiment vers quoi me diriger. C’est donc tout naturellement que j’ai opté pour un cursus généraliste en allant en école de commerce pour mes études supérieures. C’est en allant de salons en salons que j’ai fait une première sélection des écoles qui m’intéressaient. Ensuite, ce sont les écoles que j’avais ciblées qui m’ont choisie !

J’ai finalement eu le choix entre 3 écoles de commerce mais la modernité des infrastructures du Pôle et sa localisation en plein milieu du quartier de La Défense m’ont réellement séduite.

En plus, il y a des salles de sport ! C’était un aspect vraiment important à mes yeux puisqu’on passe au moins 90% de notre temps dans ces locaux.

Dès le début, on sait qu’on sera amené à choisir entre Marketing, Ressources Humaines ou Finance pour notre diplôme final. J’hésitais entre les deux premiers et c’est mon Erasmus en Finlande qui m’a finalement aidé à choisir, à HAAGA-HELIA University of Applied Sciences (Helsinki). J’y ai suivi pas mal de cours en Ressources Humaines. J’ai vite compris que j’avais besoin de quelque chose de plus créatif…

A mon retour en France en 4ème année, j’ai choisi l’option “Brand Management” que j’ai adoré ! Créativité, challenge, responsabilités… Tout ce que j’aime y était et le métier de chef de produit n’avait plus vraiment de secret pour nous.

HAAGA-HELIA University of Applied Sciences (Helsinki)

En toute logique, j’ai continué en 5ème année avec la majeure “Marketing et Distribution”. Entre les travaux de groupe et le mémoire de fin d’étude, je dois avouer que le temps manquait un peu mais ça avait l’avantage d’être formateur.

Ce qui est amusant dans cette histoire, c’est que mon projet de 4ème année en “Brand Management” a eu un impact considérable dans mon lancement dans la vie active. Avec mon équipe, nous avions décidé de mener notre projet sur un produit de cosmétique (alors que je ne me sentais pas spécialement proche de ce marché). Pourtant mon rêve était de travailler dans l’agro-alimentaire. Finalement, je me suis retrouvée en 5ème année en tant que consultante junior pour une entreprise de coiffure (grâce au “Projet consultant junior”), à rédiger en parallèle mon mémoire sur l’impact des cosmétiques sur les adolescentes et avec un stage en poche pour travailler chez Burberry Children (groupe Children Worldwide Fashion).

Related Post

Si j’ai un conseil, c’est de bien choisir vos projets !

Me voilà dans l’antichambre de la vie active : le stage de fin d’études. Ça n’a pas été facile de le trouver, mais je voulais absolument trouver un stage en tant qu’assistante chef de produit dans l’agroalimentaire ou dans la cosmétique/mode. A force de postuler, c’est l’industrie du textile qui m’a donnée une opportunité chez Burberry Children. Mais il faut aussi savoir faire des concessions ; ce stage était en Vendée. J’ai appris beaucoup de choses sur le métier de chef de produit et surtout sur le monde de la mode enfant. J’ai d’ailleurs eu la chance d’avoir été embauchée le temps d’un CDD en tant que chef de produit junior.

Marie est Junior Product manager, BURBERRY, CWF

Au quotidien, mon travail de chef de produit junior consiste à assister le chef de produit senior dans ses tâches quotidiennes :

  • Conception des collections: étude approfondie des concurrents , gestion des distributeurs, analyse des performances, analyse des concepts…
  • Développement des collections: conduite et suivi des produits et des échantillons…
  • Suivi des collections : fiches techniques, coompilation de livres de design et d’autres documents d’affaires, séminaires …

En revanche, même si on apprend beaucoup de choses à l’école, il n’y a rien de plus formateur que d’être confronté au monde réel de l’entreprise. Les projets scolaires sont une chose ; rendre des comptes à un supérieur hiérarchique en est une autre.

Même si l’EMLV n’a pas (encore) le prestige des grandes écoles du top 5, cela nous forme au moins à être persévérant pour obtenir ce que l’on veut. Et il faut admettre que la 3ème année à l’international est vraiment une chance qu’il serait dommage de ne pas saisir ! »

Retrouvez Marie sur LinkedIn en cliquant ici.

This post was last modified on %s = human-readable time difference 16:40

Categories: Insertion
Related Post