80% : c’est le pourcentage des élèves qui ne se sentiraient pas à leur place en termes d’orientation scolaire, selon les dernières études. En France, plus d’un bachelier sur quatre se réoriente pendant ses études, et dans un cas sur deux, la réorientation a lieu entre la première année et la deuxième année post-bac.
Pour répondre à la demande de réorientation des étudiants, l’EMLV propose une rentrée décalée en février, dans le cadre du programme Restart Post-bac : 5 mois de cours intensif pour intégrer l’année suivante une 2ème année du Programme Grande École qui délivre le grade de Master, visé par l’État et accrédité EFMD Master.
Licence, CPGE, école d’ingénieurs : des profils multiples en réorientation
Désintérêt pour les matières étudiées, modalités d’enseignement inadaptées ou non conformes aux attentes des bacheliers, décalage entre leur niveau de connaissances et les pré-requis de la formation, influence de l’entourage… les raisons de déchanter dès la première année post-bac ne manquent pas.
47% en provenance d’une licence universitaire
À l’EMLV, près de la moitié des étudiants inscrits au programme Restart se sont réorientés en cours de licence. Après le bac, il arrive souvent que de jeunes bacheliers se rendent très rapidement compte que le mode de fonctionnement à la faculté ne correspond pas à leurs attentes initiales ou que leur projet personnel et professionnel n’est plus le même. Peu d’encadrement, beaucoup d’autonomie, des perspectives d’avenir pas toujours nettes, le modèle de la faculté inquiète les bacheliers plus qu’il ne les rassure.
Les chiffres du Ministère de l’Enseignement Supérieur ne laissent pas de doute quant aux proportions du phénomène : 30 % des étudiants inscrits en licence quittent l’université dès la première année.
Après une première année de prépa classique : 8% des inscrits en restart à l’EMLV
8% des étudiants qui ont choisi la rentrée décalée à l’EMLV ont arrêté la « prépa ». Le rythme soutenu de travail, peu de lien avec la vie associative, l’absence de concours au profit du contrôle continu font partie des raisons pour lesquelles de nombreux bacheliers renoncent aux classes préparatoires pour chercher d’autres voies.
Passer d’une école d’ingénieurs à une école de commerce post-bac
Si le diplôme d’ingénieur constitue un véritable sésame pour l’emploi, le parcours en école d’ingénieurs est réputé pour sa difficulté. Il n’est pas facile d’avoir un bon niveau en sciences et si la motivation n’est pas toujours au rendez-vous, les étudiants peuvent avoir le sentiment d’avoir fait fausse route en intégrant un établissement qui dispense une formation technique.
Ce type de réorientation depuis une école d’ingénieurs vers une école de commerce concerne 21% des inscrits à l’EMLV en restart post-bac, le programme de semestre accéléré.
Se réorienter en choisissant le Programme Grande École de l’EMLV
Choisir un Programme Grande École dans une école de commerce, c’est opter pour un modèle de référence : sélectifs et reconnus, ces programmes généralistes et professionnalisants sont synonymes de polyvalence, bonne insertion professionnelle et d’une riche vie étudiante, sans oublier la recherche et les opportunités à l’international.
Les études en 5 ans au sein d’une école de management sont une immersion totale dans le monde de l’entreprise. Cours, stages, échanges, mobilité internationale, gestion de projet… L’étudiant est responsabilisé dès son entrée à l’école.
Pour préparer les étudiants aux attentes des professionnels, le Pôle Léonard de Vinci mise sur la transversalité pédagogique, en s’appuyant sur l’hybridation des cursus et des compétences entre les trois écoles, l’EMLV, l’ESILV et l’IIM. Au-delà des locaux qu’ils partagent, les étudiants ont accès à des activités et à des programmes communs aux trois écoles : semaines transversales autour de projets innovants, parcours entrepreneuriat, formations soft skills, vie associative, activités sportives… Pour en savoir davatange sur la rentrée décalée en école de commerce à l’EMLV.
