Diplômé, après cinq années au sein de l’école de commerce du Pôle Universitaire Léonard de Vinci, l’EMLV, Yann Simon intègre une startup, Djump. Il témoigne aujourd’hui sur son parcours et son envie de travailler pour des entreprises jeunes et dynamiques.
En intégrant l’EMLV en 2007, j’ai tout de suite été séduit par l’aspect innovateur du Pôle Universitaire Léonard de Vinci qui me rappelait le système universitaire américain. Son infrastructure moderne, sa grande infothèque et sa situation au cœur des plus grandes entreprises Européennes en font un lieu unique en France pour étudier.
Au cours de mon cursus, j’ai fortement apprécié les cours dispensés par des professionnels qui connaissent la réalité du marché et qui ont su me transmettre leur expérience pour réussir dans une société hautement concurrentielle.
D’autre part, les nombreux projets en groupe m’ont permis de développer mes compétences managériales et ont révélé chez moi le gout d’entreprendre.
Enfin à l’instar des universités américaines, la vie associative omniprésente et la pratique obligatoire d’un sport sont d’excellents moyens pour relâcher la pression et se sociabiliser.
A l’issue de ma formation en option en Corporate finance, j’ai effectué mon stage de fin d’étude chez PayPal en tant que Financial Planning & Analysis. Ce stage a conforté mon envie de travailler dans les NTIC. C’est à l’issue d’une mission chez BFM TV en contrôle de gestion que je réalise que mon métier manque de challenges commerciaux. J’arrive naturellement à la question : que souhaites-tu réellement faire dans ta vie pour être heureux ? Question qui paraît utopique dans un marché complètement fermé à l’embauche pour les jeunes.
Notre génération est en train de révolutionner les standards de l’entreprise. Nous réussissons là où les modèles traditionnels sont en train d’échouer à travers une nouvelle forme d’économie plus collaborative.
C’est pour cela que je me suis tourné vers les start-up qui offrent des perspectives d’évolution beaucoup plus riche, une hiérarchie souple, une forte autonomie et un très grand esprit entrepreneurial.
L’équipe Djump :! retrouvez les sur http://instagram.com/djump_in
En septembre 2013, je croise le chemin d’Alexis Marcadet qui travaille à fédérer une communauté sur Paris autour d’une application mobile (un Airbnb de la voiture) et qui recherche activement des « drivers » pour faire vivre sa communauté. Je commence ainsi à « driver » pour gagner un peu d’argent tout en contribuant à un projet auquel je crois. Un mois plus tard, Anissia Tcherniaeff, co-fondatrice belge de la start-up monte dans ma voiture et me donne l’opportunité de faire un stage chez eux. Quatre mois plus tard, je deviens Business developper chez Djump.
Dans une start-up, la gestion des dépenses est au cœur de l’activité. Il est fondamental de négocier au plus juste avec ses partenaires, de contrôler en permanence la performance de l’entreprise pour recruter et fidéliser la communauté, gérer ses coûts, commercialiser son offre et développer ses partenaires.
Djump : quel est son business model ?
Une application mobile iPhone et Android de partage de trajets entre particuliers : les « djumpers » sont mis en relation avec les « drivers », soigneusement sélectionnés par notre équipe Djump. Il s’agit d’une offre vraiment différente d’un Uber …
+ fun/branché et + convivial : le djumper s’installe à l’avant de la voiture et il discute avec le driver …
+ économique : la donation est libre après un djump !
+ safe : on connaît TOUS les drivers qui sont constamment évalués
Dans le cadre de ma recherche perpétuelle de partenariats avec le monde étudiant, il me paraissait évident de revenir au pôle EMLV pour partager avec les étudiants ce concept qui devrait révolutionner le monde de la mobilité dans quelques années. C’est alors que j’ai fait la connaissance d’Ashraff Mehiaoui, Président du BDE, qui a tout de suite vu l’opportunité d’un partenariat autour du Gala DVB qu’il organisait.
L’appli mobile de Djump
Pour ceux qui souhaitent rejoindre l’aventure entrepreneuriale et qui ne savent pas comment approcher les start-up montantes. Vous pouvez consulter http://www.myfrenchstartup.com/ qui référencent les jeunes entreprises qui viennent de lever récemment des fonds. »
